Une grande adaptabilité
Créé en 2003, le service numérisation traite environ 40 000 pages par an. Les deux agents dédiés à cette activité font preuve d’une grande adaptabilité puisqu’ils traitent tous types de documents : des ouvrages, des revues, des plans, des photos, des carnets de terrain ou encore des estampages. Ils gèrent aussi bien la numérisation de masse que la numérisation au cas par cas.
Le travail d’océrisation qu’ils opèrent sur les textes permet l’indexation et la fouille de texte. Les extractions d’images, dotées de métadonnées, contribuent quant à elles à enrichir les banques d’images.
Pour l’archivage ou la mise en ligne
Dans un projet, deux finalités se présentent à l’atelier numérisation : l’archivage ou la mise en ligne. En fonction de l’objectif, des contraintes peuvent se présenter comme la contrainte du poids pour la mise en ligne. Grâce à un matériel performant, à une suite de logiciels dédiés au traitement de l’image, et à l’expertise des agents, le résultat final est parfaitement optimisé : la meilleure qualité possible avec un poids exploitable pour sa mise en ligne.
De nombreux projets
Le service numérisation peut répondre à des demandes individuelles ainsi qu’à des projets institutionnels. Quelques exemples : il a travaillé avec l’université de Lorraine sur les fonds d’archives Emile Burnouf, Bourbaki, Jules Vuillemin, Antoine Poincaré, avec le Centre Camille Julian pour des carnets de terrain et avec d’autres partenaires tels que le Cleo ou l’Abes pour la numérisation de revues. Les travaux débutent par un échantillonnage test, soumis ensuite au demandeur. La validation permet de passer à la phase de production. Plusieurs formats d’export sont proposés, les principaux étant PDF et TXT.
Au-delà de la technicité, les agents du service numérisation apportent conseils et propositions aux demandeurs et ce afin de valoriser au mieux les produits de la recherche.